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Protection des océans : la diplomatie togolaise en avant-garde
Publié le lundi 7 septembre 2015  |  FULL NEWS


© aLome.com par Parfait
Session du mois de septembre 2015 du Club diplomatique de Lomé
Lomé, le 04 septembre 2015. Hôtel Sarakawa. «Les côtes et les océans du futur : entre réchauffement, érosion côtière, élévation du niveau de la mer et gouvernance», ce fut le thème du Club diplomatique du mois de septembre 2015, animé par le géomorphologue togolais, Pr Adoté Blim Blivi.


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Le ministère des Affaires étrangères du Togo a tenu une conférence, vendredi 4 août 2015 sur la protection des côtes. Sur son initiative, le club diplomatique de Lomé a été sensibilisé sur la menace qui pèse sur les océans et les côtes avec les effets des changements climatiques.

A la tribune vendredi, le professeur Adoté Blivi, géomorphologue et universitaire togolais. Il n’est pas allé par quatre chemin pour exposer aux diplomates réunis à la conférence, les menaces des changements climatiques pour les populations et les économies côtières si rien n’est fait.

Il faut alors agir et mettre la diplomatie au service de la sensibilisation pour la cause des océans. En Afrique, 21 ports sont en croissance. Dans le monde entier, 90% des échanges commerciaux transitent par les océans. Ne rien faire, c’est donc laisser mourir les économies côtières et exposer les populations aux conséquences dramatiques des catastrophes naturelles. «Si rien n’est fait d’ici quelques années, la ville d’Aného –ndlr : ville côtière à 45km de Lomé- ».


C’est la déclaration du professeur Blivi qui a glacé la salle lors de cette conférence. Mais loin de s’n offusquer, l’universitaire a martelé l’impératif devoir des gouvernants africains à désormais construire des notions d’application contraignantes pour renverser la tendance périlleuse des côtes

Pour le conférencier, au Togo : « il faut que le ministre de la mer ou le préfet maritime agisse ». Il revendique l’implication des spécialistes de la question dans la définition des stratégies et recommande plus d’investissement pour la recherche scientifique. Son but, « savoir ce qui est fait chaque année », soutient le professeur.

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