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Togo/Gestion de la chose publique/La CDPA tacle «le pouvoir d’Etat privatisé»
Publié le mercredi 9 septembre 2015  |  Emergence Togo


© aLome.com par Parfait
6ème Congrès ordinaire de la CDPA, nouvel élan pour un nouveau départ politique
Lomé, les 5 et 6 septembre 2015. Siège du Synphot. La CDPA donne quitus à Brigitte ADJAMAGBO-JOHNSON pour gérer son Secrétariat général, après sa gestion intérimaire.


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Invité sur une radio de la place, Pascal Adoko (photo), secrétaire général adjoint chargé des affaires sociales et économiques de la Convention Démocratique des Peuples Africains (CDPA) ne s’est pas abstenu d’évoquer la gestion pernicieuse du Togo par le pouvoir en place. Pour lui, cette façon de conduire les affaires du pays est un danger pouvant l’amener à s’exploser un jour.

«Il faut que les dirigeants prennent conscience. Pour le moment, le mandataire de ces gens a refusé la limitation de mandat. Avant l’élection, on a taxé les membres de CAP2015 d’avoir fait obstruction aux réformes. Il a fallu que l’élection se termine pour que le mandataire de ceux qui détiennent le pouvoir officiellement dise qu’il n’est pas intéressé par la limitation de mandat », a-t-il déclaré.

« Personnellement, j’ai travaillé pour ça. J’ai travaillé dans le CPDC réaménagé, ensuite dans le CPDC rénové. Nous avons produit ces documents, nous les avons remis au chef de l’Etat, ils sont restés dans le tiroir. Chaque fois que vous abordez la question liée à la limitation de mandats, liée au mode de scrutin, la confusion règne. Il n’y a plus d’interlocuteurs devant vous. » C’est pour tout cela que Pascal Adoko soutient que « le pouvoir d’Etat est privatisé. »

Et de s’interroger : « Est-ce que le gouvernement qui est là est-il un gouvernement d’attente, un gouvernement de pilotage automatique ? » Face à ces inquiétudes, il pense que « le pays a besoin d’être géré, d’être administré. Même si nous sommes leurs adversaires, le Togo est un patrimoine commun. On a l’impression que ceux qui gèrent le pouvoir d’Etat sont déboussolés. Nous voulons que le pays soit géré au quotidien, nous voulons écouter le chef de l’Etat parler. »
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