Le parti au pouvoir, l’Union pour la République (UNIR) pourra-t-il disposer au lendemain des élections législatives prochaines de la majorité nécessaire au parlement devant lui permettre de poursuite la mise en œuvre de sa politique de développement ? Bernadette Essossimna Legzim Balouki et Dédé Ahouefa Ekoué ont répondu par l’affirmative à cette question à elles posée par des citoyens alors qu’elles étaient reçues lundi respectivement par les populations de Vakpossito, Agoè et Tokoin.
« Nous avons encouragé la population à s’investir pour que les élections se déroulent dans un climat de paix », a confié à la presse Dédé Ahouefa Ekoué, actuelle ministre de l’Environnement et des ressources forestières qui étaient entourée pour la circonstance de Gaston Yao Dzreke, suppléant sur la liste UNIR du Grand Lomé, un candidat qui dit avoir fait de la communication de proximité, l’épine dorsale de sa campagne.
Pour Bantie Layie Bagnah-Gamon plus connue sous le nom de « Bamondi », la victoire du parti au pouvoir aux prochaines élections devra ouvrir la voix à un travail « acharné » des candidats de sa liste destiné, selon elle, à faire de la ville de Lomé, une « grande ville » plus moderne à « l’égard de celles qu’on trouve en Europe ».
Bernadette Legzim Balouki qui était avec d’autres colistiers au quartier Tokoin de Lomé a quant à elle appelé les électeurs à se rendre « massivement » aux urnes le jour du vote, afin, a-t-elle plaidé, d’« assurer une victoire confortable aux candidats de l’UNIR ».
Le parti au pouvoir est représenté par des candidats dans les 30 circonscriptions électorales que compte le Togo.
