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Lutte politique au Togo/Des stratégies de mobilisation essoufflées
Publié le jeudi 17 septembre 2015  |  Emergence-togo


© aLome.com par Parfait
Publication d`un Rapport du CACIT et de la PCJV
Lomé, le 15 juillet 2015. EDA OBA HOTEL. Publication du Rapport de la Mission d’observation du CACIT (Collectif des Associations Contre l’Impunité au Togo) et de la Plateforme Citoyenne Justice et Vérité (PCJV). Ce rapport porte sur les violences et violations des droits de l’Homme au cours de la présidentielle du 25 avril 2015 au Togo.


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Le directeur exécutif du CACIT, André Afanou, a été l’invité ce mardi de la radio Nana Fm à Lomé. Il a eu l’occasion de passer au peigne fin l’actualité sociopolitique au Togo.


Depuis 1990, des acteurs politiques se sont mobilisés et investis pour l’alternance politique. Peine perdue, ils n’ont pas profité véritablement des mobilisations sans précédent observées de par le passé. Toutefois, la société civile qui peine à s’affirmer pourra prendre la relève s’il y a un travail de sensibilisation à la base.

«Quand vous analysez la vie politique de notre pays, en 2010, on s’est dit que c’est fini pour l’opposition de mobiliser. Un jour, en 2012, le CST était en mesure de montrer la mobilisation que vous savez. Plus loin en arrière, lorsqu’il y avait une augmentation du prix des produits pétroliers, Lomé et les villes de l’intérieur ont connu des mobilisations.

On a vu à quel point la synergie a pu mobiliser les gens au point où malheureusement les enfants ont été tués à Dapaong. Quand on prend la ville de Kara dite ville favorable au pouvoir et que toutes velléités de contestations ne pouvaient être observées, l’université de Kara avait été créée car on pensait que celle de Lomé était emprunte aux violences. Contre toute attente, cette université de Kara a été le centre des contestations », tels sont les constats dressés par André Afanou qui compte un peu sur la société civile.
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