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Le droit à la démocratie ou le faux pari de la bande-à-Blaise
Publié le mardi 22 septembre 2015  |  Icilome


© Autre presse par DR
Blaise Compaoré et son homologue togolais à Pô
Le Président du Faso, Blaise Compaoré, en compagnie de son homologue togolais, Faure Gnassingbé, est arrivé dans la soirée du 2 octobre 2014 à Pô, chef-lieu de la province du Nahouri


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La bande à Macky-Boni-Compaoré et tous les autres taiseux tapis dans l’ombre ont échoué. Plus rien en Afrique ne sera comme avant, et les chefs d’État africains réfractaires à la démocratie doivent s’y résoudre : il y a bien longtemps que l’Afrique est prête pour la démocratie. Il y a bien longtemps aussi que la CEDEAO et autres représentants de l’ONU en Afrique de l’Ouest –les Mohamed Ibn Chambas de ce monde, jouent à ce jeu dangereux d’éviction des Peuples africains de la détermination de leur avenir démocratique. L’étau s’est définitivement refermé sur les putschistes aux privilèges perdus à Ouagadougou ainsi que leurs alliés. On ne peut pas constamment aller à contre-courant de l’histoire en Afrique et se moquer des populations éternellement. La reddition du RSP et son démantèlement au profit d’une autre force républicaine sont bien au programme du Burkina Faso démocratique.

Il est toujours étonnant de constater comment les chefs d’État africains sont complètement déconnectés de la réalité de leur population. Il est encore plus surprenant d’observer certains de ces présidents de l’Afrique francophone, Macky Sall du Sénégal et Yayi Boni du Bénin notamment –tous deux démocratiquement élus pourtant, prendre aussi lamentablement fait et cause pour le coup de force du 17 septembre 2015 au Burkina Faso sans aucune fermeté démocratique.

À Ouagadougou, Macky Sall et Yayi Boni avaient tout simplement joué à des apprentis sorciers, prenant tout le monde –le président de la transition Michel Kafando y compris, comme des bourricots à charger de leur innommable mensonge et malhonnêteté.

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