A l’annonce du prétendu sommet de l’Union Africaine sur la sûreté et la sécurité maritime, des travaux ont été entamé pour résorber le déficit en énergie et le problème de connexion internet. Ainsi, la tracée des lignes souterraines ont été amorcée pour faire passer des soi-disant fibres optiques. Dans ces tracées là, des voies ont été endommagées, des devantures des habitations, bureaux, ateliers ont aussi été dénaturées. Le citoyen a été obligé de prendre son mal en patience, pensant que ça n’allait être qu’une question de temps. Il a suffit que l’Union Africaine se rende compte du marché de dupe en préparation pour sonner le glas de cette roublardise que les travaux soient abandonnés, et les dérangements causés laissés dans leur état piteux.
Ceci non seulement continue d’entraver la circulation des togolais, mais aussi ralenti leurs activités génératrices de revenues, pour ce qui concerne l’inaccessibilité des ateliers des petites et moyennes entreprises. A cela s’ajoute l’aggravation de l’épineux problème de connexion internet. Si son état était déjà dégradé avant l’entame de ces travaux de façade, actuellement, la connexion tombe juste à compte goutte et met en difficulté le travail au niveau des institutions de microfinance et des banques pour ce qui concerne les opérations bancaires, des écoles, centres de formations et universités pour ce qui est des préinscriptions et des recherches, des rédactions, agences de communication et les organes de presses écrites, audiovisuel et en lignes pour ce qui relève du téléchargement des données, la mise en ligne des articles et des documents audiovisuels, sans oublier le téléchargement qui semble ne même plus valoir la peine.
Et c’est dans cet état que le pays est abandonné avec toutes ces difficultés monstres d’accès à internet. Les activités sont donc la croix et la bannière au niveau des structures affectées par ce désagrément dû à l’état défectueux de la connexion internet dans le pays.
Non ou moins soucieux de cette situation alarmante et inquiétante, la ministre des postes et télécommunication et de l’économie numérique, Dame Cina Lawson s’assied bonnement et tranquillement dans son fauteuil collant dans son cabinet et ne percevoir que son salaire à la fin de chaque mois, sur le dos du contribuable togolais. Ce qui énerve plus, le jour où elle choisit d’effectuer une sortie médiatique, elle rate l’occasion de se taire. Tout ce qu’elle avance est déraison. L’on se demande s’il n’y a plus personne capable de mettre sa compétence au service de la nation, et non sa cuisse, ses fesses et son entre-jambe au service d’un homme ?
Les tous petits pays avancent, le Togo doit aussi avancer et ce ne sera pas avec des ministres de décors, mais des têtes pensantes capables de répondre aux aspirations profondes du peuple togolais. Cina Lawson n’en est pas une. Mais, puis que c’est elle qui plait à Faure Gnassingbé, elle s’en fou royalement des besoins du peuple en matière de connexion internet. Dégueulasse !... suite de l'article sur Autre presse