Jeunes experts sur les questions de l’eau et du changement climatique pour participer à la 11è Conférence de la jeunesse COY 11 et aux espaces "société civile" de la COP 21
LOJIQ - Les Offices jeunesse internationaux du Québec - et la section française de l’Office franco québécois pour la jeunesse (OFQJ) s’associent pour favoriser une participation internationale francophone dont une délégation québécoise, à la 11e Conférence de la jeunesse - COY 11 - et à une partie de la 21e Conférence des parties de la Convention cadre des Nations Unies sur les changements climatiques - COP 21.
Dans le cadre du projet, « La jeunesse francophone pour l’eau », initié par l’ Office franco-québécois pour la jeunesse (OFQJ) et le Global Water Partnership (GWP), en partenariat avec le Secrétariat international de l’eau (SIE) et son Parlement mondial des jeunes pour l’eau (PMJE), une délégation de 40 jeunes francophones est attendue à Paris pour travailler à la rédaction d’un Livre Blanc sur la thématique de l’implication des jeunes dans le domaine de l’eau et de la sécurité alimentaire.
Ce recueil de constats et de recommandations s’appuiera sur les évaluations nationales effectuées tout au long de l’année ainsi que sur les différentes rencontres internationales auxquelles les jeunes porteurs de ce projet ont participé. Il sera remis aux décideurs internationaux, dans la perspective de la COP21.
Ce projet fait suite à divers temps forts internationaux liés aux questions environnementales proposés en 2015 par LOJIQ et l’OFQJ. Il permettra aussi aux participants d’assister aux deux événements COY 11 et 3 premiers jours de la COP 21 dans les espaces réservés pour la société civile seulement.
Objectifs du projet
Permettre à la jeunesse francophone de participer activement à la réflexion face au changement climatique;
Développer et renforcer les connaissance des participants sur les outils et les bonnes pratiques dans chacun des pays représentés pour susciter des dynamiques et aider les jeunes à répondre aux enjeux environnementaux actuels;
Consolider un réseau international de jeunes francophones dans les domaines de la gestion intégrée de l’eau , de la sécurité alimentaire et du changement climatique;
Élaborer une plateforme digitale d’expertise que les échelons locaux pourront s’approprier et diffuser.... suite de l'article sur Autre presse