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Environnement : Vers la création d’un cadre pour associer les populations locales à la gestion des aires protégées
Publié le vendredi 15 novembre 2013  |  icilome


© Autre presse
Personnel du ministère de l’environnement et des ressources forestières


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Togo - Un atelier se tient depuis ce jeudi à Lomé et regroupe les acteurs du ministère de l’environnement et des ressources forestières. L’atelier permettra aux participants de réfléchir à la mise sur pied un cadre institutionnel pour une gestion efficace des aires protégées dans le cadre du projet de renforcement du rôle de conservation du système national des aires protégées du Togo soutenu et financé en 2012 par les partenaires financiers.
Le cadre institutionnel qui sera crée sera une structure qui permettra au Togo mieux générer sa faune et surtout sa flore en vue de lutter contre la sécheresse et le réchauffement climatique et la disparition des espèces animales.

« Il va nous permettre de relever les défis liés à la gestion des aires protégées et de garantir la participation effective des populations riveraines à leur aménagement et exploitation. Ceci répond au souci non seulement de faire des aires protégées un pool de production de la diversité biologique, mais aussi d’en créer une chaîne de valeur », a indiqué Kotchikpa Okoumassou, le directeur de la faune et de la chasse, représentant le ministre André Johnson de l’environnement et des ressources forestières.

Au Togo, le domaine des aires protégées comprenait à l’origine 83 sites et couvrait, jusqu’à la fin des années 1980, environ 793 000 ha soit 14% de la superficie du pays, dont 628 000 ha étaient constitués de zones étendues que sont les parcs nationaux et de réserves de faune, représentant 11% de la superficie du pays. L’envahissement de ces aires par les populations qui auparavant, n’étaient pas associées à leur gestion a fait régresser ces chiffres.

Le prochain cadre institutionnel qui sera créé pour la gestion efficace des aires protégées vise à inverser la situation. C’est pourquoi la nouvelle gestion se veut participative avec l’intégrant des besoins des populations locales à l’objectif de préservation de la biodiversité.

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