Le ping-pong entre Gabriel Dosseh-Anyron et Djimon Oré n’est pas à sa fin

Politique

Publié le mercredi 28 octobre 2015 | AfreePress

© aLome.com par Lakente Bankhead
Le FPD réaffirme la nécessité pour le TOGO de se doter d’une transition pour éviter le pire avant et après le scrutin présidentiel de 2015
Lomé, le 20 décembre 2014, à Brother Home. Le Front des Patriotes pour la Démocratie (FPD) du députe Djimon Orè s’est prononcé sur l’actualité politique et la présidentielle de 2015. C’était au cours d’une conférence de presse qui a rassemblé journalistes et membres de cette formation politique.

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Dans une lettre adressée aux partis politiques qu’il qualifie de « nationalistes Ablodé » à savoir l’Union des forces de changement (UFC), l’Alliance nationale pour le changement (ANC) et le Front des patriotes pour le développement (FPD), le président national du parti politique « Le Nid », Gabriel Sassouvi Dosseh-Anyron invitait ces derniers à s’unir pour barrer la route à l’Union pour la République (UNIR) en 2020.

Cette proposition, qui jusqu’à présent ne semble pas intéresser l’UFC de Gilchrist Olympio et de l’ANC de Jean-Pierre Fabre, a été purement et simplement rejetée par le président national du FPD, Djimon Oré. Pour ce dernier, la « crise » politique togolaise ne peut trouver une issue favorable qu’au travers d’une «transition politique » qui seule peut permettre d’asseoir entre autres les fondamentaux de la démocratie. « Est-ce possible de faire une transition au Togo qui mette en veilleuse les institutions de la République ? », c’est la question que Gabriel Sassouvi Dosseh-Anyron a posé au député Oré par le truchement d’un autre courrier dont copie a été faite à l’Agence de presse Afreepress.

Par le même biais, M. Dosseh-Anyron demande à son collègue d’être réaliste, car selon lui, les « aînés » que sont Gilchrist Olympio et Jean-Pierre Fabre ne peuvent être écartés au jour d’aujourd’hui. «Doit-on procéder à l’exclusion des composantes des forces démocratiques ? Pour l’efficacité de l’action, doit-on procéder à l’émiettement des forces démocratiques ? Pourrions-nous faire fi du mode uninominal majoritaire à un tour, en cours dans notre pays ? », demande M. Dosseh-Ayron à Djimon Oré. ... suite de l'article sur AfreePress

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