Le centre de droit public de l’université de Lomé en collaboration avec le service de coopération et d’action culturelle de l’ambassade de France a organisé ce 30 octobre à
Lomé un colloque en prélude à la conférence de Paris sur le climat.
Selon André Johnson, ministre de l’environnement et des ressources forestières, la communauté universitaire en initiant ce colloque sur le thème « Politiques, Droit et climat, quelles stratégies en vue de la cop 21 ? » , veut en effet toucher du doigt les enjeux qui se posent quotidiennement aux différents services de l’environnement auxquels ils doivent apporter des réponses concrètes, efficaces parfois urgentes et immédiates, en vue d’améliorer davantage l’intégration du changement climatique dans les politiques nationales et sectorielles de développement.
Allant dans le même sens, le ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche Octave Nicoué Broohm déclare que les enjeux liés à cette rencontre scientifique répondent parfaitement aux attentes du gouvernement quant à l’exécution de ses engagements relatifs à la convention-cadre des Nations unies sur les changements climatiques, notamment dans les domaines de l’éducation, de la formation, de la recherche et de la sensibilisation publique.
« Ces changements climatiques que sont les concentrations continues des gaz à effet de serre, le réchauffement de la surface terrestre et de l’atmosphère entrainent des effets néfastes sur les écosystèmes naturels, et que des réflexions doivent être menées au cours de cette
conférence à paris.», a-t-il ajouté.
Pour Alida Assemboni, enseignante chercheur, membre du comité d’organisation du colloque, cette rencontre qui vient en prélude à la conférence sur le climat, résulte de la volonté de la communauté
universitaire à pouvoir développer un cadre de discussion sur la manière dont les universitaires peuvent avoir un impact certain dans la conférence parisienne sur le climat.... suite de l'article sur Autre presse