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Proparco : l’anti-modèle concessionnel
Publié le samedi 7 novembre 2015  |  Republicoftogo




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Laurent Farge, le représentant régional de Proparco, achève une visite de 3 jours au Togo.

Filiale de l’Agence française de développement (AFD), dédiée au secteur privé, Proparco intervient en faveur du développement dans les pays du Sud.

Son action se concentre sur des secteurs clés du développement : les infrastructures avec un focus sur les énergies renouvelables, l’agriculture et l’agro-industrie, la finance, la santé, l’éducation…

Proparco a accordé des financements en faveur de différents projets au Togo dont celui du terminal à conteneurs au port de Lomé. Des appuis sont également fournis à des Groupes bancaires (Ecobank, OraGroup) ou encore à une cimenterie (CimTogo).

Republicoftogo.com : Quels sont les objectifs de votre visite à Lomé ?

Laurent Farge : Nous visitons régulièrement les pays dans lesquels nous intervenons afin de mieux comprendre les enjeux et d’identifier des projets intéressants à financer.

Republicoftogo.com : En avez-vous identifié ?

Laurent Farge : Les opérations en cours d’analyse sont de nature confidentielle. Quand on observe les interventions de la Proparco au Togo (banques, infrastructures ou fonds d’investissements), on espère bien continuer sur cette voie car il existe de nombreuses potentialités. Nous souhaitons, par exemple, renforcer notre présence directe en faveur des groupes agro-industriels familiaux de taille significative.

Republicoftogo.com : A combien se monte le portefeuille de la Proparco au Togo ?

Laurent Farge : Il est de 100 millions d’euros. Je dois préciser que Proparco ne fonctionne pas comme un bailleur public avec des enveloppes sectorielles. Nous tentons d’investir dans des projets matures, assez importants et affichant des critères de risques raisonnables.

Notre principe est de prêter, d’investir ou de garantir des projets afin de générer une rentabilité mesurée afin de continuer à faire croitre l’activité. Il ne s’agit donc pas d’un modèle dit concessionnel comme le fait l’AFD avec l’argent du contribuable français.

Outre des projets industriels susceptibles d’accompagner le développement économique d’un pays, Proparco privilégie aussi les projets axés sur le climat, l’énergie verte et le social-business.
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