Brigitte Adjamagbo-Johnson : "L’union de l’opposition, nous ne sommes pas contre",

Politique

Publié le jeudi 12 novembre 2015 | icilome

© aLome.com par Parfait
6ème Congrès ordinaire de la CDPA, nouvel élan pour un nouveau départ politique
Lomé, les 5 et 6 septembre 2015. Siège du Synphot. La CDPA donne quitus à Brigitte ADJAMAGBO-JOHNSON pour gérer son Secrétariat général, après sa gestion intérimaire.

Vos outils

REAGISSEZ

Vidéos

Jean-Pierre Fabre promet un compte-rendu sous forme de déballage de son dernier séjour européen

- 31/7/2015

Dans le dossier

Activités des partis politiques 2015

L’union de la classe politique de l'opposition est toujours d’actualité. Plusieurs partis politiques (opposition), en quête d'alternance, sont encore favorables à cette union. Pour la Convention Démocratique des Peuples Africains (CDPA), elle est sine qua non, car la lutte pour l’alternance politique n’est peut pas être l’apanage d’un seul parti de l’opposition.

Invitée dans une émission sur une radio de la place ce matin, la Sécrétaire générale de la CDPA, Brigitte Adjamagbo-Johnson a souligné qu’au nom de la démocratie, son parti politique est prêt pour mener cette lutte ensemble avec les autres étant donné le poids de l’adversaire commun qu’ils ont.

« Vous devez connaître la position de la CDPA. Aucun parti à lui tout seul ne peut faire face à l’adversaire commun, ne peut faire face à un régime qui résiste à la volonté de démocratisation de tout un peuple. Nous ne sommes pas contre », a-t-elle dit.

Tout porte à croire que, malgré les déchirements et les pics qui ont toujours meublé l’arène des acteurs politiques de l’opposition dans le pays aux lendemains de l'échéance d’avril dernier, l’on peut avoir une lueur d’espoir de lutte commune pour les reformes politiques.

Brigitte Adjamagbo pense qu’il faut plutôt tirer leçon de tous les antécédents pour enfin travailler ensemble avec les autres partis.

« Je pense que dans l’action politique ont doit toujours tirer leçon des expériences passées, en se référant aux expériences que nous avons vécus. On n’a bien vu les difficultés qu’il y a eu et qui ont fait en sorte que progressivement des partis qui étaient censés travailler dans un groupement se sont retrouvés dehors. Il faut tirer leçon de cette expérience là, mais dans le fond, cela n’autorise pas à dire, ce n’est pas pertinent de travailler ensemble », a-t-elle ajouté.

Elle conclut « qu’il faut travailler ensemble, mais aussi travailler peut-être sur la base d’affinité ».
... suite de l'article sur Autre presse

Commentaires