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Publié le mardi 26 novembre 2013 | Savoir News

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André Johnson, ministre UFC du nouveau gouvernement

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Ecole togolaise et éducation nationale

Les acteurs de l’éducation venus de toutes les régions du Togo ont entamé ce lundi à Kpalimé (environ 120 km au nord de Lomé), un atelier de validation des Curricula de l’Education Intégrant les Concepts Clés de Réduction des Risques de Catastrophes et de Changement Climatiques (RRC/ CC), a constaté le correspondant de l’Agence Savoir News.Organisé par le Gouvernement Togolais avec l’appui technique et financier du PNUD, cet atelier se situe dans le cadre du projet "Prévention et Gestion des Crises et Catastrophes Naturelles".L’atelier vise à valider les productions des curricula des enseignements préscolaire, primaires, secondaire et de l’alphabétisation.La cérémonie d’ouverture de cet atelier a été présidée par le ministre de l’environnement et des Ressources Forestières (MERF) André Johnson en présence de Djouma Doumongue, Doyen de l’Inspection Générale de l’Education.Dr Awou Ottèko Apédo, le Préfet de Kloto était également présent.Cette rencontre intervient après celle qui a réuni les cadres de l’éducation sur l’intégration des nouveaux concepts dans les curricula du préscolaire, du primaire, du secondaire et de l’éducation non formelle du 04 au 08 Novembre dernier à Kpalimé. Prennent part à cet atelier : les directeurs centraux et régionaux de l’éducation, d’écoles Normales d’Instituteurs (ENI) et Supérieure (ENS), les inspecteurs des enseignements préscolaires, primaire (IEPP) et secondaire général (IESG), les responsables de la Plateforme RRC et les chefs de division et de section d’alphabétisation et d’éducation non formelle et des enseignants. Selon le ministre de l’environnement, cet atelier "revêt une importance capitale, car la prise en compte des catastrophes naturelles dans les curricula scolaires, verra naitre dans les coins et recoins du Togo, des enfants dont les réflexes pourront contribuer à éviter certains effets des catastrophes dont notre pays est souvent victime". Pour André Johnson, il convient d’enseigner aux enfants les causes, les manifestations et les conséquences de ces catastrophes afin qu’ils puissent agir à l’avance pour leur sécurité et celle de leur entourage.Il a invité les participants à s’appuyer sur leurs connaissances pédagogiques et expériences professionnelles pour instaurer en milieu scolaire, la culture de la pro- réactivité, de la prévention aux risques de conflits, de catastrophes et de lutte contre les changements climatiques et à accompagner le gouvernement togolais à réussir ce chantier. Le ministre n’a pas manqué de remercier le PNUD pour son appui qui a permis de conduire ce processus d’intégration des risques de catastrophes dans les curricula scolaires au Togo. La mise en place des stratégies de réduction des risques de catastrophes permet de prévenir, c’est- à-dire d’anticiper sur les risques de dommages encourus, avant les aléas et de donner une réponse rapide et efficace lorsque le sinistre survient, a pour sa part souligné Djouma Doumongue.

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