Depuis juin 2015, les espaces aériens du Togo et du Bénin sont pris en charge par l’Agence pour la sécurité de la navigation aérienne en Afrique et à Madagascar (ASECNA) et non plus par l’Autorité de l’aviation civile ghanéenne (GCAA) qui empochait chaque année plusieurs millions de dollars.
Dans le prolongement de ce basculement, l'Agence nationale de l'aviation civile du Togo (ANAC) et celle du Bénin ont signé lundi un mémorandum d’entente sur la recherche et le sauvetage des aéronefs en détresse.
Cette convention est destinée à harmoniser les règlementations entre les deux pays afin d’assurer une meilleure gestion de l'espace aérien.