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Les pays africains où il fait bon entreprendre, selon le «Global Entrepreneurship Index 2016»
Publié le mardi 17 novembre 2015  |  Agence Ecofin


© aLome.com par Parfait
Cabinet du ministère du Commerce, département-pivot dans la relance économique du Togo depuis décembre 2007.
Lomé, le 05 novembre 2015. Place du Monument aux morts. Centre-ville de la capitale togolaise.


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L’Afrique du Sud, la Tunisie et le Botswana figurent en tête de liste des pays africains où il fait bon entreprendre, selon le «Global Entrepreneurship Index 2016» publié le 13 novembre par le Global Entrepreneurship and Development Institute (GEDI, Londres).

L’Afrique du Sud occupe 52è rang à l’échelle mondiale. Elle est à ce titre le pays membre du groupe des BRICS (Brésil, Russie, Inde, Chine et Afrique du Sud) le mieux classé.

La Tunisie et le Botswana occupent respectivement les 62è et la 66è positions sur l’ensemble des 132 pays et territoires figurant dans le classement.

La Namibie occupe la 4è position à l’échelle africaine dans ce classement qui évalue la qualité et les dynamiques des systèmes d’entrepreneuriat dans 132 pays et territoires à travers le monde, devant l’Algérie, le Maroc, la Libye, le Nigeria et le Gabon.

L’Egypte ferme le Top 10 africain (Voir le classement des 35 pays africains étudiés en bas de page).

A l’échelle internationale, les Etats-Unis occupent la première marche du podium, devant le Canada, l’Australie, le Danemark, la Suède, Taïwan, l’Islande, la Suisse, le Royaume-Uni et la France.

Le classement Global Entrepreneurship Index se base sur de nombreux critères, dont la perception de l'entrepreneuriat par la société, les compétences en matière de création de start-up, le niveau d’usage d’Internet, le niveau de corruption, la liberté économique et la profondeur du marché des capitaux. «Notre indice donne aux décideurs un outil pour comprendre les forces et les faiblesses entrepreneuriales de leur pays, leur permettant ainsi de mettre en œuvre des politiques qui favorisent l'esprit de l'entreprise productive», explique le GEDI.
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