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Corruption au Togo/La LIT fait l’état des lieux avec les acteurs du secteur privé
Publié le samedi 28 novembre 2015  |  Telegramme 228


© aLome.com par Parfait
Chambre de commerce et d`industrie au Togo
Lomé, le 30 août 2015. Localisation de la CCIT.


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La Chambre du Commerce et d’Industrie du Togo prête depuis jeudi son cadre à un atelier de formation de la Ligue des Indépendants pour la Transparence à l’endroit des acteurs du secteur privé togolais. Ayant pour thème « Mise en œuvre de la CNUCC (Convention des Nations Unies contre la Corruption) au Togo : Le secteur privé-Etape 1 : Etat des lieux et perspectives », cet atelier se veut un cadre de réflexion, de formation et de mobilisation du secteur privé autour de la problématique de la corruption qui n’a que fait trop de mal aux économiques du Togo et partant africaines.


Le président de la LIT, Abalo Kataroh (photo), a expliqué cette initiative prise en collaboration avec l’Office des Nations Unies contre la Corruption par une volonté d’emboiter « le pas à l’Etat togolais qui depuis un certain temps œuvre pour l’amélioration du climat des affaires dans le pays.


Donc il s’agit pour nous de porter à la connaissance des opérateurs économiques, la Convention des Nations unies contre la corruption, la convention de l’Union africaine contre la corruption et aussi du protocole de la CEDEAO contre la corruption. Après cela, nous allons avec les opérateurs économiques faire l’état des lieux et à partir des instruments juridiques internationaux, qui sont des guides qui encadrent la lutte contre la corruption au plan mondial, et à partir des informations que nous aurons sur le terrain, nous pourrons nous donner des perspectives et donc planifier des actions et savoir ce que nous pouvons faire pour libérer le secteur privé de la corruption ».

Il est revenu sur les méfaits de la corruption pour les économies africaines et fonde sa conviction dans une interrogation : « Sans le secteur privé, quel Etat peut faire la meilleure recette fiscale » ? Il est d’ailleurs certain que, ce « programme aura un impact majeur sur le secteur et aura aussi des impacts en faveur de l’Etat qu’en faveur du secteur privé parce que lorsque nous allons réussi à réduire de 75% la corruption du secteur privé, qui est l’objectif du programme, nous aurons à redonner au secteur privé sa vitalité, la force de jouer sa partition dans le développement, dans la lutte contre la pauvreté pour l’amélioration de la qualité de vie des citoyens ».


Il dit attendre des participants à cet atelier et des acteurs du secteur privé, « qu’ils rentrent dans les minimas internationaux, à savoir qu’au plan international il y a des actions collectives de la société civile ou du secteur privé pour se dépoussiérer de la corruption. Nous attendons d’eux des actions collectives, nous voulons qu’ils s’approprient des principes de la convention des Nations Unies contre la corruption, et des instruments juridiques qui encadrent la lutte contre la corruption, à partir de ça, ils pourront prendre des initiatives qui ne feront mal à personne ».
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