Au moment où l’économie reprend des couleurs, ou le climat des affaires s’améliore avec l’arrivée d’investisseurs étrangers, le patronat togolais (CNP) est en pleine déliquescence.
Placé sous administration provisoire depuis 2 ans après des fraudes constatées lors des élections, l’équipe provisoire n’a pas été en mesure d’organiser un nouveau scrutin.
Du coup, les membres désabusés demandent au gouvernement d’intervenir pour mettre fin à la situation de paralysie.