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Pour contribuer à mettre fin à l’arbitraire, Cyr Adomayakpor adresse une lettre ouverte au Président de la Cour suprême
Publié le mercredi 16 decembre 2015  |  Togo Online


© aLome.com par Parfait
Le collectif des avocats de BODJONA face á la presse ce 23 juin.


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Le monde entier est dans la fièvre de la fin de l’année 2015. Et comme d’habitude, les cœurs font des tractations pour se réconcilier. Dans les communautés, des séances sont consacrées à la règlementation à l’amiable des affaires qui, à un moment donné, ont divisé deux ou plusieurs personnes, ou encore deux ou plusieurs familles. Ainsi sur le plan étatique, on procède à la remise en liberté des prisonniers qui subissent la loi de l’arbitraire. Au Togo, Pascal Akoussoulèlou Bodjona fait partir de ces personnes arbitrairement détenues juste pour plaire au prince de Lomé II. Faure Gnassingbé, puis que c’est de lui qu’il s’agit, influence dangereusement l’appareil judiciaire et hypothèque le droit à la liberté de certains citoyens qui a un moment donné de l’histoire, aurait été son serviteur, ou lui aurait tenu tête dans la mauvaise gouvernance dont il fait preuve depuis sa frauduleuse accession au pouvoir.


Il est dès lors difficile à la justice togolaise de dire le droit. Pire, le droit est décapité, bafoué et devient prisonnier d’imaginations et de contorsions extrajudiciaires et extralégales. Il est masturbé à des fins indécentes. Le juge devient le premier obstacle au droit au nom duquel il a prêté serment et juré de protéger et respecter. Tout se fait pour plaire et non pour rendre justice. Ainsi, le pauvre, le veuf, l’orphelin… deviennent indésirables.


Nombreux sont ces dossiers pourris dans lesquels la justice togolaise s’illustre négativement à savoir les incendies des marchés de kara et Lomé, la prétendue affaire dite d’escroquerie internationale, celle dite de tentative d’atteinte à la sureté de l’Eta, sans passer sous silence les nombreuses harcèlement et contorsions judiciaires qui mettent à rude épreuve la liberté de presse au Togo.


Pour ce qui de l’affaire dite d’escroquerie internationale, l’une des inventions du siècles qui porte les griffes de Faure Gnassingbé et ses sbires, les langues se délient et réclament avec insistance, l2 droit, la justice, pas celle de miséricorde pour paraphraser Pascal Akoussoulèlou Bodjona, le détenu particulier de Faure Gnassingbé qui continue de piétiner le droit de son bras droit d’hier.

Cyr Adomayakpor, citoyen d’Etat de son état, fait partie de ces hommes qui ont décidé d’en appeler au droit qui finalement se joue entre la vie et la mort.

A travers une lettre ouverte, Cyr Adomayakpor Alban de la Meunière met à nue les frasques de la Cour Suprême et interpelle son président, Juge Akakpovi Gamatho qui, à l’occasion de l’installation des membres du Conseil de la magistrature, avait rassuré plus d’un. Cyr Adomayakpor se demande s’il n’est pas grand temps que la Cour suprême RENDE DES ARRETS plutôt que de RENDRE DES SERVICES ? Une interrogation profonde qui dit tout sur la relation pathétique et énigmatique entre l’appareil judiciaire et l’exécutif.
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