Blanchiment et terrorisme: Le rôle des religieux, de la Société civile et de la presse

Économie

Publié le jeudi 17 decembre 2015 | Togo breaking news

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Édition de 20h du JT du vendredi 28 août 2015

- 31/8/2015

Dans le dossier

Relance économique 2014-2015

Le Comité interministériel de suivi des activités relatives à la lutte contre le blanchiment d’argent et le financement du terrorisme a réuni ce mercredi à Lomé des hommes de Dieu, des Chefs traditionnels et coutumiers, la société civile et la presse pour leur fournir des informations sur la lutte contre les fléaux de blanchiment des capitaux et de financement du terrorisme.

L’objectif de la session est d’emmener ces différentes couches de la société togolaise à renforcer leur engagement dans l’application et dans la mise en œuvre des textes en vigueur au Togo. Il est surtout question de sensibiliser les participants sur les enjeux de la lutte contre le terrorisme et son financement. Pour les hommes de Dieu, Imams, Chefs traditionnels et coutumiers, les organisateurs entendent donner des informations nécessaires leur permettant de mieux sensibiliser leurs fidèles sur les dangers réels du financement du terrorisme.

«La paix, la sécurité est menacée dans notre environnement par des positions se nourrissent parfois des prédications reçues dans les lieux de culte ou autres endroits de rassemblement, sur les antennes, etc… A notre avis, lutter contre le terrorisme et son financement commence par les valeurs intrinsèques que nous propageons par nos paroles et nos attitudes. Les leaders d’opinion constituent en cela un canal à double tranchant.», a déclaré Tcha Bignosi Aquitème, le président du Comité interministériel et Directeur du CENTIF.

L’idée est de faciliter et renforcer la coopération entre les acteurs au plan régional et national. C’est également l’occasion de réfléchir à comment opter pour le côté positif, celui qui condamne toutes les formes de terrorisme et d’extrémisme violent, celui qui dénonce la stigmatisation religieuse, ethnique ou raciale. ... suite de l'article sur Autre presse

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