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Un scrutin sans contestation est-il possible pour l’Afrique?
Publié le lundi 21 decembre 2015  |  RFI


© aLome.com par PARFAIT
Le président de la CENI donne l`exemple du vote citoyen à ses compatriotes
Samedi 25 avril 2015. Agoè. Taffa TABIOU, président de la CENI, a été le premier acteur du processus électoral en cours à glisser son bulletin dans l`urne, dans la capitale togolaise.


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Ils sont la base même du principe démocratique. Et pourtant, ils sont presque partout les sources de contestations, et même régulièrement la raison des conflits qui ensanglantent les Etats, notamment africains. Le vote. Le scrutin universel. Que de contestations, que de manœuvres, que de tripatouillages et de bourrages d'urnes, ces dernières décennies. Des pratiques qui ont fini par lasser des millions d’électeurs qui ne croient plus en la transparence des scrutins, et qui jugent inutile de se déplacer pour mettre leur bulletin dans l’urne.


Et pourtant, ces derniers mois, chose trop rare pour être mentionnée, quelques pays subsahariens ont fait exception à cette règle. Le Nigeria qui a connu la transparence avec la victoire sans contestation de Buhari sur le président sortant Goodluck Jonathan, ou encore la victoire nette d’Alassane Dramane Ouattarra qui a définitivement légitimé son pouvoir, mettant un terme aux controverses de 2010, et plus récemment le franc succès de Marc Christian Roch Kaboré au Burkina Faso. Comment ces pays ont-ils procédé pour éviter les querelles qui entachent toutes les élections en Afrique ? Quel est leur secret ? Leur organisation ? Peuvent-ils servir de modèle aux 10 pays qui, en 2016, vont à leur tour élire leur président ?
... suite de l'article sur RFI


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