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Me Jean Dégli tient l’opposition radicale pour responsable de l’échec de l’alternance
Publié le mercredi 23 decembre 2015  |  icilome


© aLome.com par Parfait
Me Yaovi DEGLI, un imminent avocat Togolais.


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L'épineux sujet de l’alternance dans la sous-région revient sur le tapis. Certains analystes de la situation sociopolitique trouvent que le Togo est le seul pays qui manque à la liste.

Pour certains analystes, l’alternance tant attendue par les Togolais lors de la présidentielle du 25 avril dernier a échoué à cause de l’absence des réformes institutionnelles et constitutionnelles.

L’opposition radicale est tenue pour responsable de ce lamentable échec. C’est ce qu’a déclaré Me Jean Yaovi Dégli mercredi dans une réaction sur les ondes de la radio Victoire Fm.

« Les peuples de la sous-région ont tous connu de l’alternance et pourquoi le Togo ne l’a pas encore connu ? À qui imputer la responsabilité ? L’alternance politique au Togo est définitivement rejetée d’un côté comme de l’autre. Parce que si comme tout pouvoir, le régime n’a pas envie de lâcher, au moins généralement les oppositions font de sorte que ce que le peuple veut puisse se mettre en place une fois pour de bon », a-t-il laissé entendre.

Il a pointé du doigt le radicalisme de certains leaders de l’opposition, quant au dialogue concernant les réformes. Selon lui, l’opposition radicale s’est révélée être une alliée du pouvoir à travers sa bourde.

« Quand on dit avec les réformes, il faut effacer tous les mandats de Faure Gnassingbé pour qu’il recommence à zéro, nous avons dit non. Le nouveau mandat qui commence en 2015 doit compter et s’il doit rester encore au pouvoir il ne peut que faire le dernier mandat. Quand on a rejeté notre proposition aux orties, le pouvoir a été confronté dans sa position. Le Togo a une constitution sans limitation de mandat et il faut l’inscrire dedans", a t-il indiqué.

Et de poursuivre: "Puisque le pouvoir peut rester tranquillement et dire je respecte la constitution. J’ai l’impression qu’on ne voit pas l’enjeu. Et malheureusement comme j’ai dit, dans ces démarches de la dernière fois que je considérais d’ailleurs comme une démarche, peut être la dernière chance pour le Togo, l’opposition togolaise dans sa partie la plus radicale s’est comportée comme un allié du pouvoir".
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