Accueil    MonKiosk.com    Sports    Business    News    Femmes    Pratique    Le Togo    Publicité
NEWS
Comment

Accueil
News
Politique
Article



 Titrologie



Autre presse N° 001 du

Voir la Titrologie

  Sondage


 Nous suivre

Nos réseaux sociaux



 Autres articles


Comment

Politique

Adoption du budget 2016: La ligne budgétaire de la santé inquiète Gerry Taama
Publié le jeudi 31 decembre 2015  |  Icilome


© aLome.com par Parfait
Gerry Taama lance officiellement l’Observatoire Africain de la Démocratie et de la Sécurité (OADS) né en février 2014
Lomé, le 17 septembre 2015. Brother Home. L`OADS officiellement présenté en public.


 Vos outils




 Vidéos

 Dans le dossier


La loi de finance exercice 2016 proposée par le gouvernement fait couler beaucoup d'encre et de salive qu'on l'imaginait. Le sujet intéresse aussi l’opposition extraparlementaire. Et apparemment, comme le Comité d’action pour le renouveau (CAR), le Nouvel Engagement Togolais (NET) met en cause l’enveloppe accordée à la santé.

Intervenant dans une émission ce matin à la radio zéphyr, Gerry Kondemandega Taama, présidant du Net et candidat malheureux lors de la dernière présidentielle, trouve inadmissible que la ligne budgétaire de la santé soit revue à la baisse.

« Nous soutenons entièrement la position du CAR. Aujourd’hui, nous disons tous que nos hôpitaux sont devenus des mouroirs et qu’il n’y a pas suffisamment de prise en charge des malades. Et donc découvrir qu’on a réduit le budget de la santé, est quelque chose que nous ne comprenons pas. Alors qu’au même moment, on a multiplié pratiquement par 2 le budget du ministère des postes et télécommunications. C’est inadmissible », a-t-il souligné.

Or, selon lui, malgré ces « financements impressionnants », ces sommes colossales que débloque l’Etat togolais «surtout au niveau du Togotélécom», le coût de communication ne connaît aucune amélioration, au contraire, il devient de plus en plus cher.

Le hic, c’est que le gouvernement, au nom du « mandat social », continue «d’investir autant dans le ministère du développement à la base alors qu’en 5 ans, le taux de pauvreté n’a baissé que 2% ».

« Quand vous regardez un tel projet dans un débat où on met le social en avant, puisqu’on parle de mandat sociale qui commence avec l’année 2016, alors que les dispositions du projet ne vont pas dans le sens du mandat social, c'est évident, nous ne pouvons que le contester », a-t-il dit.
... suite de l'article sur Autre presse


 Commentaires