Angola/Togo: Attentat de Cabinda, 6 ans après, une plaie toujours béante

Société

Publié le vendredi 8 janvier 2016 | icilome

© aLome.com par Parfait & Edem Gadegbeku
Dodo OBILALE lance un ouvrage-portrait sur sa carrière brisée à Cabinda en 2010
Lomé, le 29 décembre 2015. EDA OBA Hôtel. Conférence de presse de lancement d`un "DESTIN FOUDROYE".

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Catastrophes 2016

8 janvier 2010-8 janvier 2016. Aujourd’hui, cela 6 ans que le bus de l’équipe nationale de football du Togo a été pris d’assaut par des militants autonomistes du Flec, le Front de Libération de l’Enclave de Cabinda, alors qu'il se rendait en Angola, pour la CAN 2010. Le car transportant les éperviers a été mitraillé à l’arme lourde. Bilan, 2 morts et plusieurs blessés.

6 ans après, mais l’on s’en souvient encore comme si c’était juste hier. Puisque, ce drame a jusqu’alors des répercussions non seulement sur l’équipe nationale Togolaise en général et mais aussi sur la vie de chacun de ces ambassadeurs du football du Togo.

Si Abalo Amélété et Stanislas O’cloo ont péri sous les balles assassines de ces rebelles de l’enclave de Cabinda, le gardien de but togolais Kodjovi Obilale a vu son rêve, son « destin foudroyé » suite à ce drame. Le joueur a publié un poignant ouvrage retraçant sa vie brisée par ces coups de feu lâchés ce fameux 8 janvier 2010. Une publication qui met en exergue les lendemains difficiles et douloureux suscités par ce drame, vécu par lui et sa famille.
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