Nombreux sont ceux qui sont tombés dans les duperies sur internet, particulièrement sur les réseaux sociaux, à la recherche d’emploi. Attention, tout ce qui brille n’est pas de l’or, dit-on ; les réseaux sociaux ne véhiculent pas que du vrai.
Tout commence par un courriel qui vous est envoyé ou un message que vous recevez sur Facebook ou Whatsapp, pour ne citer que ceux-là. Bien formulées et ne laissant quasiment voir aucune forme d’escroquerie, ce sont des offres qui vous garantissent un bel emploi (souvent à l’étranger) ou une somme faramineuse à gagner après avoir rempli un certain nombre de conditions.
Et c’est à partir de là que les investissements commencent. D’abord pour des documents à envoyer vers un mail ou à un bureau dans un pays étranger puis ce sont des frais de dossier à payer. Dans certaines offres, il est même exigé de payer des frais supplémentaires pour hébergement, frais de location d’appartement, etc. A la fin, c’est le désarroi.
Il y a quelques semaines, l’offre la plus fréquente, surtout sur Whatsapp, était celle qui viendrait du bureau d’UNICEF (Fonds des Nations-Unies pour l’Enfance) en France. Ceux qui en ont vérifié la provenance se sont aperçus de la supercherie. Pour les moins curieux, ce fut une alléchante occasion à saisir. Hélas !
Il y a quelques jours, passait aussi en boucle sur les réseaux sociaux la publication d’une trentaine de postes à pourvoir pour le compte de la Banque Atlantique Togo. La banque, à travers un communiqué, a démenti en être auteure ce vendredi.
La confiance donnant droit à l’aveuglement n’est pas à accorder à des offres sur internet. La prudence et la vigilance sont de mise sur internet et les réseaux sociaux.