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Du 21 déc à Hiheatro : 6è édition du festival Adiavou à Atakpamé
Publié le vendredi 6 decembre 2013  |  L’Union


© L’Union par DR
Euloge Adjei promoteur du festival Adiavou


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Le festival Adiavou va rassembler les populations du village de Hiheatro à Atakapmé et de ses environs le samedi 21 décembre 2013. Au cours de ce festival, qui est à sa 6e édition cette année, les artistes de la localité sont à l’honneur. Le promoteur de ce festival, Euloge Adjei, à travers cette interview, parle de l’évènement.

Le festival Adiavou va rassembler les populations du village de Hiheatro à Atakapmé et de ses environs le samedi 21 décembre 2013. Au cours de ce festival, qui est à sa 6e édition cette année, les artistes de la localité sont à l’honneur. Le promoteur de ce festival, Euloge Adjei, à travers cette interview, parle de l’évènement.

Pa-lunion : Parlez nous un peu du festival Adiavou ?

Le festival Adiavou est un lieu de rencontres et d’échanges d’arts et de culture. Un point où l’urbain et le rural se rencontrent ; un lieu où le partage artistique reste une primauté. ‘’Adiavou’’ est une langue d’Akposso qui signifie le réveil.

Quelle est la particularité de l’édition de cette année ?

L’édition 2013 ne déroge pas des intérêts précédents mais une nouveauté bien sûr, c’est cette conférence interactive sur la culture et le développement. Nous essayerons d’expliquer ou d’éclairer la population des bienfaits de la culture dans le développement d’un village, d’une région et d’un pays.

Du coté de l’organisation, y-a-t-il des difficultés ?

Les difficultés sont multiples dans ce genre d’organisation mais vous n’êtes pas sans savoir que le financement des événements culturels dans notre pays reste et demeure un problème crucial.

Un mot à l’endroit des annonceurs et de la population d’Atakpamé

Nous appelons les annonceurs ou les petites, moyennes et grandes sociétés de notre pays à saisir cet événement pour en faire une vitrine car le Festival Adiavou est maintenant connu au delà de nos frontières.
Le problème humain existe aussi, nous avons besoin de techniciens pour nos installations et de la population autochtone pour la réalisation des infrastructures (podium...).

Merci Euloge Adjei.

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