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La rénovation du Radisson Blu et ses dégats colatéraux
Publié le samedi 23 janvier 2016  |  Icilome


© aLome.com par Parfait et Edem Gadegbeku
Nouveau visage de l`ex Hôtel du 2 février devenu Radisson Blu Hôtel 2 Février
Lomé, le 19 janvier 2016. Centre-ville de la capitale togolaise. Le parc hôtelier du Togo retrouve son fleuron...


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La rénovation de l'hôtel Radison Blu continue, et les lieux qui les entourent subissent aussi des changements. Un espace autrefois occupé par des bonnes dames pour la vente de nourriture a été dégagé. Il y a lieu alors de s’interroger sur le devenir de ces dames et la vie des travailleurs dans ce secteur en matière de restauration.

Le quartier administratif est un milieu qui attire un grand nombre d'individus pour des raisons de fonctions. Plusieurs personnes déferlent vers ce lieu le matin pour ne rentrer que le soir pour la plupart. Et les petits déjeuners comme les déjeuners sont souvent pris sur les lieux de travail.

Cet état de chose est une aubaine pour certaines dames qui s’y sont installées afin d’offrir des services de restauration à ces travailleurs.


Ainsi, un lieu de restauration s’est installé entre la DOSI, la BCEAO et l'ex Hôtel 2 février depuis plusieurs années. Un espace public au départ qui s’est transformé progressivement en un point de vente de nourritures. C’est à l’ombre de ces longs arbres que ces bonnes dames vendaient aux passants comme employés de la zone.

Mais depuis quelques jours à la faveur des travaux de rénovation dudit hôtel (Radisson Blu) qui tirent à leur fin, ces revendeuses sont sommées de libérer les lieux. Une situation qui pénalisent ces revendeuses mais aussi les travailleurs qui y passaient leur moment de pause pour se trouver quelque chose à se mettre sous la dent. Désormais ce ne sera plus possible.

Elles se sont déplacées le long de la clôture mais visiblement l'emplacement n'est pas le plus idéal et les affaires ne vont plus bon train. D’autres ont décidé de regagner leur maison sans autre alternative.

L’inquiétude est double, d’abord les femmes et ensuite les employés qui y déjeunaient. Que deviendront ces dames qui ont fait de ce commerce leur principale source de revenus. Des familles encore lésées car visiblement aucune disposition n’a été prise pour les installer en un lieu plus indiqué.

Magnim (stagiaire).
... suite de l'article sur Autre presse


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