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‘’Chef de file de l’opposition’’ décrété/La controverse s’invite au sein de l’opposition
Publié le vendredi 29 janvier 2016  |  Emergence-togo


© aLome.com par Parfait
Les députés planchent sur le Nouveau Code pénal togolais
Lomé, le 30 octobre 2015. Assemblée nationale du Togo. Dernière ligne droite des amendements par les députés du texte portant Nouveau Code pénal en République togolaise. Ces séances sont marquées par le retour de J.-P. FABRE au Parlement.


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Longtemps réclamé par Jean-Pierre Fabre, président de l’Alliance Nationale pour le Changement (ANC), et contesté par le Comité d’Action pour le Renouveau (CAR), le statut de chef de file de l’opposition vient d’être finalement adopté en conseil des ministres.


C’est un texte qui s’invite dans les débats depuis le 13 juin 2013, jour de sa naissance, et dont les contours « restent toujours flous » selon les uns. Malgré cette controverse, le gouvernement a jugé utile de le rendre pratique afin de permettre au chef de file de l’opposition de jouir de certains avantages et privilèges, droits liés à son statut d’une part, et d’être en phase avec certains devoirs d’autre part.
« Le présent décret détermine les avantages et privilèges de chef de file de l’opposition pour la durée de la législature…Il (chef de file de l’opposition, ndlr) dispose des avantages pécuniaires et matériels… », note-t-on dans le communiqué sanctionnant le conseil des ministres.
« J’utiliserai la fonction au mieux des intérêts que je mène », a déclaré Jean-Pierre Fabre, président de l’ANC, bénéficiaire de cette nouvelle disposition.


De l’autre côté, ce statut est dénoncé par le CAR qui y voit une ambiguïté. Ce parti critique le projet depuis sa création et demande une meilleure loi pour l’opposition. « Nous contestons cette loi parce qu’elle n’est pas bonne. On ne peut pas nous dire que l’opposant, c’est celui-là qui, même s’il est au gouvernement, fait une déclaration au président de l’Assemblée nationale et le devient », s’indigne Paul Dodji Apévon, président du CAR.
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