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Relance de la bataille pour les réformes et locales/La CDPA part à la rencontre des populations
Publié le mardi 9 fevrier 2016  |  Telegramme 228


© aLome.com par Parfait
6ème Congrès ordinaire de la CDPA, nouvel élan pour un nouveau départ politique
Lomé, les 5 et 6 septembre 2015. Siège du Synphot. La CDPA donne quitus à Brigitte ADJAMAGBO-JOHNSON pour gérer son Secrétariat général, après sa gestion intérimaire.


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Même si le coche a été raté avant la présidentielle du 25 avril 2015, il n’est point question d’abandonner la lutte pour les réformes et les élections locales au Togo.


C’est ce que semble avoir compris enfin la CDPA qui se remet à l’ouvrage. Ainsi, hier dimanche pour expliquer aux populations le bien-fondé de ces deux réclamations de l’opposition togolaise, le parti de Brigitte Adjamagbo Johnson a entamé une série de rencontres avec les populations togolaises à la base. Première étape, ce fut le quartier Kossigan, dans le canton d’Agoè, où les responsables du parti au symbole de la main dans la main, a informé et formé les populations de ce coin du Too et de Lomé la capitale.


Selon le premier secrétaire général adjoint de la CPDA, Pascal Adoko, il s’agit pour eux de «sensibilisation des populations à la base pour leur expliquer que le temps de la servitude volontaire des Togolais est révolu.

Qu’il est temps que les Togolais réclament leurs droits. Et les droits qui sont urgents aujourd’hui, c’est l’organisation des élections locales. Nous voulons élire nos maires, et nos présidents de conseils, nos conseillers pour qu’ils administrent nos localités. Parce que ça fait bientôt 30 ans qu’on n’a plus organisé ces élections. Pour nous à la CDPA, c’est inacceptable ». et à son avis, « les gens ont compris que si l’eau courante est coupée dans ce quartier, ils ne vont pas aller voir le chef de l’Etat avant de le rétablir. Il vaut mieux qu’ils aient un maire ».


Autre sujet de discussion avec les habitants d’Agoè Kossigan, ce sont les réformes prescrites par l’APG. « Nous avons également sensibilisé la population sur la nécessité qu’enfin les réformes de l’APG puissent être effectuées. Nous voulons la limitation des mandats. Nous voulons que les présidentielles que les législatives se fassent à deux tours, nous voulons également les réformes électorales parce que nous devons trouver les moyens pour mettre fin à la fraude », a-t-il expliqué. En tout cas, Pascal Adoko avertit : « si ça continue, on risque de faire basculer notre pays dans la violence. Nous ne voulons donc pas de violence dans notre pays et c’est pour cela que le Togolais doit amener son génie pour qu’on trouve un code électoral capable de mettre fin au système de fraude ».


Après Kossigan, ce sont les populations de Baguida qui doivent se préparer à accueillir le cortège de la vague rose, qui entend submerger tous les quartiers de Lomé autour toujours des réformes et des locales et aussi les autres cantons à l’intérieur du pays.
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