La libération de l’ancien ministre de l’Administration territoriale, Pascal Bojona fait tient la une de l'actualité. Nicolas Lawson, président du Parti pour le Renouveau et la Rédemption (PRR), intervenant dans l’émission 12-13 sur les ondes de Nana Fm dimanche 7 février dernier, s'est dit satisfait de cette libération. Pour lui, c’est une preuve de la volonté de son « petit frère » Faure Gnassingbé à faire de l’Etat togolais, un Etat de droit.
Selon lui, cette libération de Pascal Bojona, l’animale politique entre temps très décrié dans le pays, est liée au dernier voyage de son « petit frère » à Rome.
«Le voyage de M. Faure Gnassingbé à Rome chez le Pape François a dû lui faire du bien. Parce que vous ne pouvez pas être Chrétien et ne pas avoir le sentiment de la miséricorde. Un homme d’Etat doit être miséricordieux, doit être magnanime», a-t-il dit.
Et de poursuivre : « Pascal Bojona est un adversaire politique, mais quoi qu’on dise c'est un frère, c’est un patriote. (…) Et peu importe ce qu’on lui reproche, il faut que la justice prévale. Il n’est pas possible d’accepter dans notre pays qu’un de nos concitoyens qui qu'il soit, puisse être emprisonné pendant des mois sans jugement et sans condamnation».
Selon lui le combat pour l’Etat de droit que tous les Togolais (la majorité bien sûre) espèrent, «est un combat contre un système pervers qu’il faut éradiquer du corps social ». Il invite par la suite, son «petit frère » Faure Gnassingbé à « prendre un nouveau départ et ne plus suivre ces esprits criminels qui l’entourent et qui pillent ce pays » et piétinent la justice des Togolais au profit de leur intérêt personnel.... suite de l'article sur Autre presse
![](http://news.aLome.com/img_photos/M/nicolastogo.jpg")
