La BOAD vers un modèle institutionnel d’accroissement des espaces hydro-agricoles

Économie

Publié le mardi 10 decembre 2013 | AfreePress

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40ème anniversaire de la Banque Ouest Africaine de Développement (BOAD)
Mercredi 13 novembre 2013. Siège de la BOAD, Lome. Grand colloque marquant l`apothéose du 40ème anniversaire de la Banque Ouest Africaine de Développement (BOAD) en présence de chefs d`Etat africains

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Les résultats de l’étude de l’impact socio-économique de 7 projets d’aménagements hydro-agricoles dans 4 pays que sont le Burkina, le Mali, le Niger, et le Sénégal sont en plein approfondissement à Lomé dans les locaux de la Banque Ouest Africaine de Développement (BOAD), a constaté l’Agence Afreepress.

Initié par la BOAD et ses partenaires afin d’accroître les superficies des espaces hydro-agricoles aménagées pour réduire le déficit céréalier de la zone UEMOA, cet atelier permettra d’apprécier les résultats des projets réalisés, l’atteinte de ses objectifs et d’évaluer leurs impacts sur la vie des populations bénéficiaires.

« Cet atelier n’est pas seulement destiné à la restitution des résultats des travaux pour aboutir à la validation, mais il nous permettra aussi de réfléchir sur les problèmes rencontrés au cours de l’exécution des projets, afin de définir un modèle institutionnel de gestion pour la durabilité des projets d’aménagement hydro-agricole », a expliqué Gbaguidi Patrice, directeur de l’évaluation rétrospective des projets.

« L’impact des projets sur la vie des populations est la chose qui nous importe le plus et nous nous réjouissons que ces projets aient changé la vie des populations des localités choisies », a-t-il ajouté.

Dans l’exécution des projets, il s’est agi de mettre à la disposition des agriculteurs des infrastructures pour irriguer les terres aménagées en eau des barrages car « sans eau, il ne peut pas avoir d’agriculture ».

Pour le conseiller spécial du président de la BOAD M’baye Thiam, cet atelier permettra d’avoir des fondamentaux communs servant d’exemple à tous les pays de l’UEMOA.
« Avec les expériences que nous allons tirer des 4 pays, nous allons les appliquer dans d’autres domaines pour d’autres pays de l’UEMOA », a-t-il déclaré.

Gaël N.

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