L’association No Vo-Togo a organisé le mercredi 10 janvier 2016, à Lomé, une séance d’échanges sur la problématique de l’accaparement des terres cultivables au Togo.
Le président de l’association No Vo-Togo Toussaint K. Aziamanyo a noté à l’entame de la rencontre que parlant de la terre il se souvient ‘’des amis qui sont à Hahoté, a Tabligbo qui n’ont plus accès aux terre alors que celles-ci sont accaparées par les multinationales ».
Le président évoque dans la foulée une autres raison de la tenue de la rencontre.«Vous avez également vu ce qui s’est passé à Mango, c’est tout cela ce qui nous a motivé à organiser cette rencontre pour réfléchir sur l’accès à la terre, les luttes à mener dans l’avenir », a-t-il indiqué.
La problématique de la terre au Togo a été donc déclinée par le conférencier M, Sogadji de la Lct qui précise que les terres cultivables sont entrain d’être acquis par les riches au détriment des pauvres.
Il a cité des exemples des villages où des portions ont été acquises au détriment des populations autonomes qui sont exploités pour cultivés ces terres aux meilleurs des cas mais pire des cas ces terres sont inexploitées.
Le conférencier a fait savoir que le code foncier en validation achoppe sur une question fondamentale, celle de nombre d' hectare qu’une seule personne peut acquérir.... suite de l'article sur Autre presse