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La BRVM prépare de nouvelles mesures pour le flottant en bourse des sociétés cotées
Publié le vendredi 19 fevrier 2016  |  Agence Ecofin


© Autre presse par DR
Félix Edoh Kossi Amenounvé, Directeur de la Bourse régionale des valeurs mobilières (BRVM)


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La nouvelle n'a pas fait grand bruit mais la Bourse Régionale des Valeurs Mobilières de l’UEMOA basée à Abidjan, a pris deux mesures, lors de son conseil d'administration de décembre 2015, qui sont susceptibles d'impacter le volume des titres disponibles pour les transactions sur ce marché financier qui regroupe huit pays.

La première décision fixe la valeur minimale du flottant en bourse à au moins 20% du capital de l'entreprise. Un point qui devra encore être précisé par les dirigeants du marché, car il n'est pas clair si ce rapprochement concernera la valeur comptable ou bien la valeur boursière de ce flottant. Par ailleurs, la BRVM a décidé d'un plancher minimum de 2 millions de titre et un maximal de 10 millions, avec des planchers intermédiaires, pour ce qui est du volume des titres constituant ce flottant boursier.

Techniquement, la mesure devrait avoir pour effet d'accroitre le volume du flottant en bourse, tout en garantissant aux investisseurs, une valeur minimale de ces titres disponibles pour la négociation et donc la liquidité du marché. Mais tout le monde ne partage complètement pas ce point de vue. Brice Kouao, un expert de la comptabilité et investisseur de la BRVM, exprime la crainte de voir cette décision produire aussi un effet boomerang.« Certaines entreprises cotées ont un besoin limité de la BRVM pour se financer.


Elles pourraient y trouver une faille pour effectuer des Offres Public d'Achat sur le flottant restant de leurs titres et se retirer de la bourse », a-t-il fait observer en substance. Un argument qui rappelle que les dirigeants de la bourse devront étroitement surveiller les plus et les moins de la nouvelle mesure en termes de capitalisation boursière, mais aussi de liquidité du marché.
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