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Liberté N° 2137 du 22/2/2016

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Togo : Le dernier rapport du FMI sur la mauvaise gouvernance économique au Togo sur le surendettement du pays met en rogne le très corrompu ministre de l’Économie et des Finances Adji Otèth Ayassor
Publié le mardi 23 fevrier 2016  |  Liberté


© Autre presse
Adji Otéth Ayassor et Christine Lagarde au siège du FMI à l`occasion des Assemblées de printemps de la Banque Mondiale et du Fonds Monétaire International


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Le crime de lèse-Ayassor commis est d’avoir commenté dans notre parution du 26 janvier 2016, un rapport du Fonds Monétaire International (FMI) sur le Togo.

Le ministre Ayassor a cru bon de faire publier, par les soins de ses troubadours, le droit de réponse sur les réseaux sociaux avant de nous l’expédier. Voici les grandes lignes du document qui met Ayassor dans tous ses états.

Rapport du FMI et fragilité de l’économie togolaise. Le Togo risque d’être déclaré en situation de surendettement élevé

L’économie togolaise va mal. Cette fois-ci, c’est le FMI qui, dans un langage dénué de diplomatie, aborde les aspects qui, s’ils ne sont pas pris en compte à travers les remarques ô combien pertinentes de l’institution internationale, risquent de plomber l’économie togolaise pour très longtemps. Après avoir publié les consultations de 2015 du FMI au titre de l’article IV avec le Togo, il paraît impératif d’en faire de même avec les voies et moyens par lesquels le pays pourrait ajuster sa politique budgétaire et assurer par la même occasion la viabilité de la dette à long terme. La taxe d’habitation que l’Office togolais des recettes (OTR) se propose d’imposer aux citoyens n’est pas de ses prérogatives, selon le FMI. Aussi, plus tôt les Togolais s’approprieront-ils le contenu de ce rapport, plus citoyens ils deviendront, économiquement parlant. Car si aucun moyen de coercition n’est mis en branle pour contraindre les autorités à affecter plus de moyens aux secteurs sociaux prioritaires, c’est une longue traversée du désert qui attend le pays. A quand la mise en œuvre des réformes du ministère de l’Economie et des Finances dont la gestion est aussi opaque que la fumée de la locomotive qui traverse chaque jour la capitale togolaise ?
... suite de l'article sur Liberté


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