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Selon le FMI, les pays exportateurs de pétrole ont perdu plus de 340 milliards $ en 2015
Publié le mercredi 24 fevrier 2016  |  Agence Ecofin


© aLome.com par Atapointe
Assemblée du printemps du FMI et de la Banque mondiale: Photo de famille des gouverneurs et ministres en charges des finances
Samedi 18 Avril 2015. Washington (USA).Comme il est de coutume, les gouverneurs et ministres en charges des finances présents aux assemblées du printemps du FMI et de la Banque Mondiale se sont prêtés à la Photo de famille.


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En termes de revenus pétroliers, les pays exportateurs de pétrole du Moyen-Orient et d’Afrique ont perdu plus de 340 milliards $ en 2015, soit 20% de leurs PIB combinés, d’après le Fonds monétaire international (FMI). Ceci, en raison de la chute des prix du pétrole.

Christine Lagarde, directrice de l’institution, a expliqué que les indices en présence prouvent que les prix pourraient rester bas pendant encore une longue période. «Cela signifie que tous les pays exportateurs de pétrole devront réduire leurs dépenses et travailler à augmenter leurs recettes. Dans le même temps, ces économies ont besoin de renforcer leurs cadres budgétaires et reconcevoir leurs systèmes fiscaux en réduisant leur forte dépendance aux recettes pétrolières et en développant des revenus non pétroliers», conseille-t-elle.

«Les cycles de chute des prix connus précédemment ont montré que l'impact des prix du pétrole est de longue durée, et que les cicatrices d'une période prolongée de bas prix ne peuvent pas être facilement effacées», avait déclaré, alarmé, le prince saoudien Abdulazziz bin Salman, vice-ministre du pétrole, lors de la table ronde sur l'énergie qui s'était tenue à Doha en 2015.

Le Nigéria par exemple a connu des pertes de près de 63 millions $ entre novembre et décembre 2015, et face à la situation désastreuse à laquelle fait face l’économie locale, le président Muhammadu Buhari, vient d’effectuer un voyage officiel en Arabie Saoudite pour essayer de trouver des solutions communes efficaces. L’objectif est de discuter avec les acteurs de la monarchie du Golfe, l’un des plus grands exportateurs de l’OPEP, des voies et moyens pour atteindre une plus grande stabilité dans le prix des exportations du brut.

Quant à l'Angola, deuxième producteur d’Afrique et très dépendant de la manne pétrolière, il va augmenter ses impôts en 2016, licencier des milliers de fonctionnaires et réduire très fortement ses dépenses publiques.

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