Greenpeace tire la sonnette d’alarme face aux menaces de déforestation accélérée en Afrique. Dans un rapport publié ce mardi 23 février, l’ONG de protection de l’environnement, s’intéresse aux plantations d’hévéas et de palmiers à huile exploitées par un groupe luxembourgeois, la Société financière des caoutchoucs (Socfin) présente dans huit pays africains et qui refuse de prendre des engagements de protection des forêts.
Greenpeace interpelle par ailleurs l’homme d’affaires français Vincent Bolloré, très actif en Afrique.
De plus en plus d’investisseurs, de planteurs et de courtiers de palmiers à huile et d’hévéas s’intéressent beaucoup à l’Afrique et particulièrement au bassin du Congo.... suite de l'article sur RFI