Durant le Mobile World Congress qui s’est tenu à Barcelone en Espage, du 22 au 25 février 2016, l’Association mondiale des opérateurs télécoms (GSMA) a lancé un programme pour permettre aux femmes des pays pauvres d’accéder davantage au mobile : le « Connected Women initiative».
Plusieurs sociétés télécoms, à l’instar de Tigo Rwanda, Axiata PLC Sri Lanka, Digi Telecommunications Sdn Bhd de Malaysie, Indosat Ooredoo d’Indonesie, Ooredoo Maldives, Ooredoo Myanmar, Robi Axiata Limited du Bangladesh, et Turkcell ont déjà manifesté leur engagement à ce projet qui vise à faire bénéficier aux femmes de l’impact bénéfique du mobile sur les conditions de vie (santé, économie, éducation, informations, etc. Ndlr).
Mats Granryd, le directeur général de GSMA, estime que «dans un monde de plus en plus connecté, les femmes sont actuellement lésées. La recherche de GSMA montre qu’il y a 200 millions de femmes en moins que d’hommes qui possèdent un téléphone mobile dans les pays à revenu faible ou intermédiaire.
Et même lorsque les femmes possèdent un appareil mobile, elles sont beaucoup moins susceptibles de l’utiliser pour des services plus sophistiqués tels que l’Internet mobile et les services financiers, et ratent de ce fait les principales opportunités socio-économiques. Assurer l’inclusion numérique et financière des femmes est d’une importance cruciale, car lorsque les femmes prospèrent, les sociétés, les entreprises et les économies se développent ».... suite de l'article sur Autre presse