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8ème Université du notariat au Togo: les entraves aux décisions de justice à l’honneur
Publié le mardi 1 mars 2016  |  AfreePress


© aLome.com par Parfait
La modernisation de la justice passe par l’assainissement des locaux des tribunaux. La façade du tribunal de Lomé.


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Une cinquantaine d’acteurs de justice prennent part depuis ce lundi au Centre togolais des expositions et Foires Togo 2000 (CETEF), à la huitième Université des notaires du Togo sous le thème : « l’exécution du testament : pratique notariale et intervention du juge, la cession des titres sociaux en droit OHADA, règlement et liquidation judiciaires d’une succession : rôle du notaire et interaction du magistrat ».

La 8ème Université a été ouverte par le Directeur de Cabinet du ministère de la Justice, Kossivi Egbétonyo, en présence du Président de la Chambre nationale des notaires du Togo, Daniel Ekoué Dosseh-Adjanon, de la Présidente des Universités notaires du Togo, Françoise Molgah Kadjaka Abougnima, une consœur de la Chambre interdépartementale des notaires de la Basse-Normandie en France, Me Anne Maupilet, du ministre de l’Enseignement supérieur, Octave Nicoué Broohm et du Président de la Commission des affaires africaines de l’Union internationale du notariat (CAAF), Me Mouhamed Tchassona Traoré.

Cette initiative de la Chambre des notaires s’inscrit dans la vision du gouvernement de faire de la justice togolaise, un modèle à travers l’amélioration des prestations des acteurs et des différentes parties prenantes impliquées dans la nébuleuse judiciaire du pays.

«Depuis quelques temps, il ne se passe de jour sans que les paisibles populations ne reçoivent la visite d’individus organisés qui, prenant le contre-pied de décisions de justice, même passées en force de chose irrévocablement jugée, ou en entravant carrément l’exécution, répandent la terreur dans les quartiers par des expulsions, voire des démolissements de maisons sous le regard indigné mais impuissant des vrais maîtres des lieux qui, désemparés, n’hésitent pas à nous poser la question de savoir : où est la justice ? », a indiqué M. Kossivi Egbétonyo.
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