Accueil    MonKiosk.com    Sports    Business    News    Femmes    Pratique    Le Togo    Publicité
NEWS
Comment

Accueil
News
Économie
Article



 Titrologie



Autre presse N° 001 du

Voir la Titrologie

  Sondage


 Nous suivre

Nos réseaux sociaux



 Autres articles


Comment

Économie

Classement des pays africains dans l’indice de la mondialisation 2016 établi par l’ EPF-Zurich
Publié le samedi 5 mars 2016  |  Agence Ecofin


© aLome.com par Parfait
La ville de Lomé vue de l`immeuble du CASEF
Lomé, le 22 juin 2015. Vue générale de la capitale togolaise, depuis l`un des principaux immeubles dominant le centre-ville de cette cité: le CASEF


 Vos outils




 Vidéos

 Dans le dossier


Le Maroc est le pays africain le plus mondialisé, selon l’édition 2016 de l’indice de la mondialisation publié le 4 mars par l'Ecole polytechnique fédérale de Zurich (EPFZ). Le royaume chérifien arrive au 57è à l’échelle mondiale dans ce classement qui reflète l’état de la mondialisation économique, sociale et politique dans 192 pays à travers le monde.

L’Ile Maurice (58è à l’échelle mondiale) occupe le deuxième rang à l’échelle africaine, devant l’Afrique du Sud (61è au plan mondial), l’Egypte (66è), la Tunisie (81è), les Seychelles (82è), la Namibie (98è), le Sénégal (99è), le Nigeria (103è) et le Togo (106è).

(Voir le classement complet des pays africains ci-dessous)

L’indice de l’EPFZ) mesure la globalisation sur une échelle de 1 (le moins mondialisé) à 100 (le plus mondialisé).

La dimension économique de la mondialisation tient compte, d’une part, de l’importance des flux commerciaux, d’investissements et de revenus transfrontaliers rapportés au produit intérieur brut (PIB) et, d’autre part, de l’impact des barrières commerciales et des restrictions de circulation des capitaux.

La dimension sociale de la mondialisation est mesurée à l’aide de trois variables. La première englobe les contacts transfrontaliers personnels sous la forme d’appels téléphoniques et de courriers. Les flux touristiques et l’importance des populations étrangères résidentes sont également pris en compte. La seconde recense les flux d’informations transfrontaliers à partir de l’accès à Internet, à la télévision et aux produits de presse étrangers. La troisième tente d’évaluer l’adhésion culturelle aux grands courants mondiaux à partir du nombre de filiales McDonald’s et Ikea, ainsi que des exportations et importations de livres rapportées au PIB.

Finalement, la dimension politique de la mondialisation est mesurée à partir du nombre d’ambassades étrangères présentes dans un pays, du nombre d’organisations internationales dont le pays est membre, du nombre de missions de pacification de l’ONU auxquelles le pays a participé et du nombre d’accords bilatéraux et multilatéraux signés par le pays depuis 1945.
... suite de l'article sur Autre presse


 Commentaires