Les femmes actrices et auxiliaires de justice du Togo (FAAJ) se sont réunies ce mardi à la Maison de l’Avocat à Lomé, pour discuter, échanger et réfléchir sur deux (2) thèmes clés qui impliquent le respect de la dignité et des droits de la femme au Togo.
Il s’agit des « innovations du nouveau code pénal en matière de protection des droits de la femme » et de « l’incarcération et l’accouchement en prison de la femme enceinte : la situation au Togo ».
C’est à l’occasion de la célébration de la Journée internationale de lav femme célébrée chaque 8 mars dans le monde entier, a constaté l’Agence de presse Afreepress. L’objectif de cette rencontre est de faire en sorte que l’égalité des sexes soit une réalité au Togo.
«La communauté internationale considère l’égalité entre les femmes et les hommes comme un principe fondamental. Les droits des femmes et des jeunes filles sont inaliénables, indivisibles et font partie intégrante des droits universels de l’homme.
En ce qui concerne l’égalité entre les sexes dans tous les domaines de la vie, il est déplorable de remarquer qu’aucun pays au monde, encore moins le Togo, n’a réussi à réaliser complètement cet engagement : les femmes gagnent moins que les hommes et sont davantage représentées dans des emplois peu qualifiés, un tiers des femmes subissent des violences physiques ou sexuelles au cours de leur vie », a indiqué Emilie Azibli-Wolou, Avocate et Présidente du comité d’organisation de la journée.