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Dégradation des aires protégées/Les transhumants dans le viseur du ministre André Johnson
Publié le mercredi 9 mars 2016  |  Telegramme 228


© aLome.com par Parfait et Edem Gadegbeku
Elevage d`animaux dans la capitale togolaise
Lomé, le 22 janvier 2016. Un centre d`élevage.


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Les dégâts causés cette nouvelle année 2016 par les bouviers transhumants ne sont plus à démontrer. Du saccage des cultures dans les champs à des antagonismes avec les populations autochtones avec morts d’hommes, dans des localités comme Tchalo, Agbélouvé et Agou Blakpa pour ne citer que celles là, difficile a été la cohabitation surtout avec les peuhls transhumants. Mais depuis quelques jours, une nouvelle donne s’invite au chapitre des antagonismes avec un communiqué du ministre en charge de l’Environnement, André Johnson. Ce dernier somme les transhumants à arrêter rapidement de paître leurs bêtes dans les aires protégées, sous contrôle de l’Etat. Un comportement qui d’après le document rendu public par le ministre du gouvernement de Komi Klassou, va dans le sens contraire aux articles 73, 125 et 126 du code forestier n°2008-09 en vigueur en République togolaise.

« Il m’a été donné de constater que certains transhumants au détriment des articles 73, 125 et 126 du code forestier n°2008-09 en vigueur, font paître leurs bétails dans les aires protégées. Cette pratique délictueuse est de nature, non seulement à renforcer les effets du changement climatique dus à la dégradation des écosystèmes et à la fragilisation de leurs fonctions écologiques avec ses corollaires, mais aussi à engendrer la zoonose », indique dans un premier temps le communiqué du ministre Johnson.

Dans sa suite, « le ministre de l’Environnement et des Ressources forestières porte à la connaissance du public, notamment des transhumants, les propriétaires locaux de bétail et acteurs impliqués, qu’il est formellement interdit de faire paître, parquer, divaguer, circuler ou transiter les animaux domestiques dans les limites des aires protégées ».
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