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Liberté N° 2150 du 10/3/2016

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Togo/Coup «de tas» «diendéréique» au CAR
Publié le vendredi 11 mars 2016  |  Liberté


© Autre presse par DR
Dodji Apévon, président du Comité d’action pour le renouveau (CAR)


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Les mensonges d’un homme politique nostalgique et envieux ne servent pas un parti politique. C’est le cas du vieux « Bélier noir » de Kouvé qui, bien qu’ayant pris la retraite politique, manœuvre pour reprendre les commandes du parti qu’il estime avoir créé lui-même, une épicerie privée donc qu’il entend gérer comme il le veut.

Et ce n’est pas un Apévon doit l’empêcher de jouir de son bien. Pour prouver à lui et à tous ceux qui s’opposent à son retour à la tête du parti des « déshérités », le Bélier noir, malin qu’il est brandit le titre de « Président Fondateur » comme dans la République très très démocratique du Gondwana City où le citoyen lambda ne peut s’opposer à la volonté du chef suprême au risque de subir sa foudre.

Mais il semble que le titre de « Président Fondateur » dont s’est affublé n’existe nulle part dans les textes fondateurs du parti. Une usurpation de titre qui ne doit pas plaire au vrai « Président Fondateur » du Gondwana City. Il se murmure que le dessein inavoué du vieux « Bélier noir » est de positionner son fils qui vit chez les Toubabs à la tête du parti afin qu’il mange président en 2020. En somme, il veut imiter Gnass père qui a fait manger son fiston Gnass fils président et garder le pouvoir dans le giron familial. Le papy est malin dèh !


Il se raconte aussi que des cadres ont mal digéré le fait qu’Apévon ait été coopté comme candidat du parti, alors que « Président Fondateur » est toujours vivant. Le natif de Yoto aussi avait assisté à ces réunions Sauf que comme le « coup de tas » mal ficelé de Gilbert Diendéré qui a fait pschitt, celui fomenté par le « Bélier noir » fait face à une résistance qui ne dit pas son nom au sein du parti. Au point qu’il a été obligé d’embarquer certains ténors du parti dans sa cause perdue.


Le malheureux docteur James « Bond » est sans voix. Semble-t-il que le fait de citer dans son affaire de « coup de tas » son nom répond à une tentative pour amener ceux des partisans qui sont derrière le docteur à se désolidariser de celui-ci pour trahison. Jusqu’où « Président Fondateur » est-il prêt à aller ?




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