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Arrestation de pasteur Edoh Komi : L’ANC sort de son silence et condamne
Publié le jeudi 17 mars 2016  |  AfreePress


© aLome.com par Parfait et Edem Gadegbeku
L`ANC en meeting à Doumassessé, pour la 1ère fois depuis 2012
Lomé, le 05 mars 2016. Quartier Doumasséssé. L`ANC, conduit par Jean-Pierre FABRE, délivre son message autour de la nécessité de faire des réformes et d`organiser des élections locales.


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L’Alliance nationale pour le changement (ANC, opposition) est sorti de son silence une semaine après l’arrestation du pasteur Edoh Komi, président du Mouvement Martin Luther King (MMLK), la voix des sans voix. Mercredi, l’ANC de Jean-Pierre Fabre a publié un communiqué dans lequel le parti condamne cette arrestation en des termes très durs et exige la libération du défenseur des droits de l’Homme dont l'arrestation est intervenue le 11 mars pour « troubles à l’ordre public » et «outrage à magistrature ».

L’ANC, écrit le parti, constate que « l’embastillement du pasteur militant des droits de l’homme intervient à la limite de la légalité et dans des conditions de grande confusion et de machination. On note ainsi la procédure viciée d’interdiction du sit-in prévu par le MMLK.

On note également l’invitation du ministère de la Justice faite au pasteur EDOH par téléphone. Il est particulièrement scandaleux que la justice et la magistrature togolaises notoirement reconnues instrumentalisées par le régime RPT/UNIR, avec des juges habités par le goût du lucre et l’appât du gain, s’offusquent d’un prétendu ‘’outrage à magistrature’’ pour expédier en prison un militant des droits de l’homme, défenseur et porte-voix des plus faibles ».

Le premier parti de l’opposition poursuit son plaidoyer en faveur du pasteur en demandant au gouvernement de « respecter les droits et libertés des populations togolaises et de prendre les mesures appropriées pour assurer efficacement la sécurité des citoyens togolais, notamment les responsables politiques et ceux des organisations de défense des droits de l’homme ».
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