"Améliorer la communication et l’efficacité entre usagers et administrations ou entre les administrations", a-t-on projeté en mettant au point le fameux E-gouvernement. Pour ce faire, le ministre d’Etat, Adji Othèt Ayasor a dû cueillir un prêt concessionnel de 25 millions de dollars dans une banque chinoise.
Le projet E-gouvernement devait non seulement donner un coup accélérateur dans la prestation de service des administrations publiques, mais aussi pourvoir de l’emploi en l’occurrence dans le secteur informatique (puisque tous les 500 édifices devront avoir recours à un service informatique en bonne et due forme).
De même, le chantier d’installation du réseau est en lui-même un gros chantier pour les entreprises informatiques qui peinent à écoper de vrais chantiers informatique, car déloyalement concurrencées par les Chinois. Mais pour le cas du E-gouvernement, les promesses et les rêves sont bien loin des réalités. ... suite de l'article sur Autre presse