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Sept (7) personnes démissionnent de l’ASVITTO pour gestion «opaque» de fonds et absence de résultats
Publié le mardi 22 mars 2016  |  AfreePress


© aLome.com par Parfait
Très faible affluence à la marche de l`ASVITTO, pour réclamer la justice pour Kpatcha Gnassingbé et co-détenus, emprisonnés depuis 2009.
Lomé, le 26 juin 2015. Centre-ville de la capitale togolaise. Les membres de l`ASVITTO ont marché de l`Ambassade de la France à celle de l`Allemagne.


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L’affaire d’atteinte à la sûreté de l’Etat d’avril 2009 refait surface ce mardi. En conférence de presse, un groupe de personnes citées dans cette affaire et membres de l’Association des victimes de torture au Togo (ASVITTO), ont présenté leur démission de ce regroupement, a constaté l’Agence de presse Afreepress.

Ces personnes, toutes des corps habillés au nombre de sept (7), reprochent à l’association dirigée par l’ancien commandant des Forces armées togolaises (FAT), Olivier Amah Poko, en exil, un certain nombre de choses, notamment l’absence de compte rendu visant à trouver des solutions à cette affaire dans laquelle elles disent avoir été torturées, la gestion opaque des fonds alloués à l’association, l’absence de suite donnée aux propositions faites pour aboutir à une solution favorable et la volonté manifeste de ne point engager de discussions avec le pouvoir judiciaire et l’exécutif pour un règlement définitif.

Il s’agit du sergent-chef Kossi KEBERA, des sergents Abalo PAPALI, Mazabalo AGNAM et Palabamzémani PADARO, du gendarme Menveïdom KAMOUKI et de l’officier de police Eyadéma NAYO. Pour eux, cette démission est « volontaire » et « définitive », parce qu’ayant jugé que l’ASVITTO n’est plus habilitée à parler en leur nom.
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