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Publié le mercredi 23 mars 2016  |  Elite d’Afrique


© Autre presse par DR
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Nouveau rebondissement dans l’affaire d’atteinte à la sûreté de l’Etat, les personnes impliquées demandent pardon à l’Etat et au peuple togolais.

C’est au cours d’une conférence de presse que les personnes citées dans l’affaire de tentative d’atteinte à la sureté de l’Etat togolais en avril 2009, membres de l’Association des Victimes de Torture du Togo (ASVITTO), ont organisé ce mardi 22 mars 2016 à Lomé que les mots d’excuse et de pardon ont été formulés.

Les officiers des Forces Armées Togolaise (FAT) soupçonnés d’être impliquées dans cette affaire sont montés au créneau pour présenter leur excuse et demander pardon à l’Etat et au peuple togolais.

«Nous présentons toutes nos excuses et demandons pardon à l’Etat togolais, à l’ensemble des officiers des Forces Armées Togolaise (FAT) et au peuple togolais. Au nom de la réconciliation, que l’Etat togolais accepte de s’assoir avec nous pour discuter et régler cette affaire qui a déjà trop duré», a déclaré le Gendarme Adjoint KAMOUKI Menveïdom.

Il faut noter que ces officiers présumés impliqués cette tentative d’attentat contre la sûreté de l’Etat togolais dont le principal concerné n’est autre que la personne de l’ancien député de la mouvance présidentielle l’honorable Kpatcha Gnassigbé, le demi-frère de Faure Gnassingbé, n’ont pas confirmé ni démenti leur implication dans cette affaire mais demandent seulement que l’affaire se résolve au plus vite pour qu’on puisse ordonner leur réintégration dans l’armée togolaise.
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