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Démissions au sein de l’ASVITTO: Kao Atcholi cite les noms de ses accusateurs
Publié le jeudi 31 mars 2016  |  aLome.com


© aLome.com par Parfait
Très faible affluence à la marche de l`ASVITTO, pour réclamer la justice pour Kpatcha Gnassingbé et co-détenus, emprisonnés depuis 2009.
Lomé, le 26 juin 2015. Centre-ville de la capitale togolaise. Les membres de l`ASVITTO ont marché de l`Ambassade de la France à celle de l`Allemagne.


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Ce sont les ex-éléments des FAT que sont les sieurs Laré et Sizing qui sèment la discorde au sein de l’ASVITTO. «Tous les comptes financiers qu’ils réclament aujourd’hui ont été faits avant l’exil de l’ex-Président de l’ASVITTO (Olivier Poko Amah) en Occident le 16 septembre 2014», tient à souligner Kao Atcholi, Secrétaire général de l’ASVITTO.

Parmi les 07 personnes qui se réclament «démissionnaires, certains ont bénéficié de faveurs du pouvoir à leur libération en 2011 comme des accompagnements en matière de soins médicaux, contrairement à nous autres fondateurs de cette Association», rappelle Kao Atcholi.


Ces critiques de l’actuelle direction de l’ASVITTO sont instrumentalisés par des proches du pouvoir togolais pour semer l’ivraie dans cette entité, poursuit le sieur Atcholi Kao: «Certains de ces meneurs sont même allés jusqu’à toucher de l’argent à la Présidence, à leur sortie de prison, à raison de 02 millions de fcfa par tête», dénonce-t-il.


L’ASVITTO est mue par le souci de défendre les Droits humains au sens général du terme. Raison fondamentale pour laquelle, «nous à sa Direction, nous continuons à exiger la criminalisation de la torture» pour punir au terme de la loi togolaise, les auteurs de torture dans l’affaire «Kpatcha Gnassingbé d’avril 2009 (affaire qualifiée officiellement de «tentative d’atteinte à la sûreté intérieure de l’Etat»)», soutient ce défenseur des Droits de l’homme.

E. Gadegbeku

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