Dans la 4e édition de son rapport sur la gouvernance en Afrique, la Commision économique pour l’Afrique des Nations Unies conteste la pertinence des indicateurs de perception de la corruption :
«Recourir à des perceptions de la corruption et non à la corruption en tant que telle, pose un problème car la perception peut évoluer beaucoup plus rapidement que le niveau réel de corruption. » juge l’institution qui dénonce une « ambiguïté » dans la définition même de la corruption qui disqualifie les classements internationaux et comparaisons par pays : « Bien que de telles comparaisons soient possibles, elles ne sont guère utiles», estime le rapport.... suite de l'article sur Autre presse