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Togo : Violation incessante de la Constitution par Faure Gnassingbé et sa minorité Nicolas Lawson saisit Aboudou Assouma
Publié le mardi 12 avril 2016  |  togosite.com


© Autre presse par DR
Nicolas Lawson, président du PRR


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Possible ou pas possible au Togo ? Difficile de trancher. Mais pour ce que l’on sait, à travers une lettre ouverte adressée le 7 avril dernier à la Cour Constitutionnelle, Nicolas Lawson, président du PRR (Parti pour le renouveau et la Rédemption), réclame la correction de plusieurs violations dont entre autres, la mise en place du Conseil Economique et social, la création du Sénat, et le respect des droits humains fondamentaux. Voici le courrier :

Lomé, le 7 Avril 2016

Monsieur le Président
Cour Constitutionnelle
LOME – TOGO

Objet : Lettre ouverte

Monsieur le Président,
Le peuple togolais s’est placé sous la protection de Dieu pour se donner la loi fondamentale à l’aune de laquelle il entend forger sa destinée et à laquelle on doit mesurer les autres lois et les actes de l’Etat, des dirigeants et des citoyens. Cette loi suprême, qui vous confère vos prérogatives et vous indique vos obligations dans son Titre VI, ne me permet pas de vous saisir directement mais devant les graves transgressions de sa lettre et les violations répétées de son esprit par le régime en place, je le fais au nom du salut de notre nation, des patriotes togolais et des démocrates du monde entier.

Monsieur le Président, il n’y a pas de légitimité démocratique quand la loi fondamentale est méprisée par le Chef de l’Etat avec l’assentiment volontaire ou involontaire des autres institutions du pays. Aucun individu n’a le droit, même sous le prétexte d’être élu par le peuple, de dédaigner aussi cavalièrement les dispositions de la lettre de la constitution comme le font le Chef de l’Etat actuel et sa minorité, qui régentent notre pays. L’Article 104 de la constitution en vigueur vous impose de veiller au respect de ses dispositions. Vous ne détenez aucun pouvoir qui ne découle de cette constitution. Par conséquent, vous n’avez pas le droit de satisfaire aux lubies et au braque de qui que ce soit.
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