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L’Afrique qui rit, l’Afrique qui pleure
Publié le lundi 18 avril 2016  |  Republicoftogo


© aLome.com par Atapointe
Conférence Africa Rising: table ronde de clôture
Vendredi 30 mai 2014. Maputo. Table ronde de clôture sur le thème "prochaines étapes et actions communes". Photo : Christine Lagarde, directrice générale du FMI


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Abdoulaye Bio-Tchané, président du Groupe des gouverneurs africains, et Christine Lagarde, directrice générale du Fonds monétaire international (FMI), ont co-présidé dimanche la réunion du Groupe consultatif africain qui s’est tenue à Washington.

Du fait de la dégradation de l'environnement économique extérieur et, en particulier, de la forte baisse des prix des produits de base, ainsi que du durcissement des conditions financières, la croissance en Afrique devrait tomber aux environs de 3 % en 2016, soit le niveau le plus bas depuis longtemps. Cependant, les taux de croissance varient largement d'un pays à l'autre : ainsi, les pays à faible revenu d'Afrique subsaharienne continuent d'enregistrer une croissance supérieure à 5½ %, souligne un communiqué publié à l’issue de la réunion.

C’est effectivement le cas pour le Togo dont le taux devrait frôler les 6% en 2016.

‘Nous sommes convenus que la baisse des prix des produits de base durera probablement longtemps, car les causes semblent structurelles plutôt que temporaires, y compris le rééquilibrage en cours de la demande en Chine et, dans le cas du pétrole, les innovations technologiques qui ont accru l'offre. Nous avons constaté aussi que des chocs non économiques, liés par exemple au climat ou à la sécurité, constituent des risques pour les perspectives économiques de l'Afrique’, ont déclaré Mme Lagarde et M. Bio-Tchané.

Dans ce contexte, estiment ces derniers, un ajustement budgétaire rapide s’impose d’urgence pour préserver la stabilité macroéconomique et reconstituer les marges de manœuvre dans l’ensemble de la région, et surtout dans les pays exportateurs de pétrole.
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