Depuis la semaine dernière, les populations ghanéennes et togolaises savent que leurs pays étaient visés par les terroristes qui prévoyaient les frapper après la Côte d’Ivoire. Les services de renseignement ivoiriens ont mis la puce à l’oreille de leurs collègues des deux pays depuis le 9 avril.
Menace entourée de secret d’Etat au Togo, pas de mesures spéciales…
Au Ghana, le débat est presque public sur cette alerte, des dispositions spéciales sont prises par les autorités en charge de la sécurité, les populations appelées à la vigilance. Cette affaire étant de sécurité nationale, le président John Dramani Mahama a dû s’adresser à ses compatriotes pour les rassurer. Mais au Togo, la menace est entourée d’un secret d’Etat, pas un seul mot là-dessus de la part des gouvernants, aucune mesure particulière…Faure Gnassingbé n’a que faire de la sécurité de ses bien-aimés électeurs du 25 avril 2010 et préfère satisfaire ses lubies à lui dont des voyages à travers le monde.
Menaces sérieuses sur le Ghana et le Togo
On en faisait déjà cas dans la parution de vendredi dernier. Le Ghana et le Togo sont dans le viseur des terroristes. Il ne s’agit pas d’une menace diffuse, comme jusqu’à présent, mais d’une réelle et sérieuse. C’est le cerveau des attaques terroristes ayant frappé Grand-Bassam en Côte d’Ivoire le 13 mars dernier qui en a fait la révélation. A l’en croire, ils prévoyaient frapper aussi le Ghana et le Togo. Une alerte a été même sonnée par la Côte d’Ivoire en date du 9 avril 2016 et est reprise par la presse.... suite de l'article sur Liberté